Les Relations Pyramidales, C’Est Dépassé [1]

Je bosse dans une grosse entreprise. J’ai un bon poste, mais grosse entreprise signifie (en tout cas dans cette boîte) des chefs, des chefs de chefs etc.. bref. J’ai un manager, et une chef de service, qui réfère au PDG. J’insiste un peu sur cette structure car ce qu’il s’est passé m’a d’autant plus excité vu les relations professionnelles.
Comme d’hab dans ce genre de récit je vais changer les détails, pas soucis d’anonymat ou de paranoïa :p
Quand je suis arrivé dans cette boite, c’est mon manager, Michel (premier faux prénom :p) qui a fait mon entretien et m’a embauché. J’ai fait ma place dans cette boîte et m’entends très bien avec tout le monde. J’ai fini par rencontrer la chef de mon service, Johanna. Elle a dans les cinquante ans (j’en ai 30), et n’est pas du genre autoritaire en règle générale.
Réflexe de mâle célibataire, quand je l’ai rencontrée, j’ai un peu jaugé… Elle est fine mais a l’air d’avoir une belle poitrine. Elle fait pas mal de sport ce qui lui fait un joli cul. Elle n’est pas célibataire donc à l’époque je n’avais même pas envisagé quoi que ce soit.
Deux ans ont passés, et j’ai sympathisé avec tous mes collègues (ou presque) dont Johanna. Dans mon métier on est amenés à voyager de temps en temps. Le premier déclic a eu lieu lors d’un voyage en Allemagne : nous étions 4 – Johanna, Jérôme, Sylvie et moi. Tous en couple sauf moi. Le voyage était crevant, nous n’avions pas le temps de décompresser sauf le soir quand nous allions manger. Le dernier soir, la veille de notre retour en France, nous avions décidé de prendre un apéro. Puis un second. L’ambiance était excellente, nous avions atteint nos objectifs et nous étions tous détendus. Le serveur qui s’occupait de notre table avait tapé dans l’œil des deux femmes de l’équipe. Avec Jérôme on en rigolait. Le déclic a eu lieu au moment où Sylvie a dit à Johanna pour la taquiner après avoir dit qu’elle en ferait bien son quatre heures :
- Mais t’es pas célibataire je te rappelle ! Tu te rends compte !
Et Johanna de lui répondre :
- Faut que j’en profite, ça va pas durer éternellement.


Dans le contexte elle parlait de sa libido car elle approchait la ménopause. Elle a dit ça en regardant d’un œil outrageusement gourmand le cul du serveur qui repartait. On en a tous rigolé, et ça m’a fait voir d’un œil beaucoup plus ouvert ma chef.
Quelques jours plus tard je me suis retrouvé seul avec elle ; la discussion est devenue privée. Elle portait un débardeur légèrement décolleté et un pantalon blanc. Je sais plus comment on en est arrivé là, mais je lui ai demandé de me montrer une photo du sujet de conversation (je sais plus ce que c’était, quelque chose de fugace…) et elle s’est penchée en avant pour fouiller son sac. Son décolleté était alors tellement plongeant que j’avais pleine vue sur sa poitrine qu’elle ne met pas assez en avant à mon avis.
De là j’ai commencé à fantasmer sur elle de temps en temps. Son côté taquin, sa gourmandise apparente, le fait qu’elle soit ma supérieure…
Quelques mois plus tard, on avait un autre voyage dans une ville industrielle au Japon. Nous ne partions qu’à 3 cette fois : Johanna, Jérôme et moi. Johanna nous propose de partir le vendredi au lieu du dimanche pour profiter d’un week-end de détente au Japon (à nos frais, sauf que le voyage et l’hébergement étaient payés par la boite !). J’accepte de suite, mais Jérôme préfère rester en famille. Johanna m’envoie alors un message privé :
- Tu veux partir en tête à tête avec une femme intéressante et cultivée ?
Ça m’a fait craquer, son humour, son ouverture d’esprit, sa modestie et ce ton décalé… j’avais déjà décidé de partir de toutes façons.
- Qui refuserait une telle invitation, ai-je répondu.
Et nous sommes donc parti pour un week-end ensemble. Arrivé le 1ier soir à l’hôtel on a eu un souci avec la réservation : nous n’avions pas payés d’avance et l’hôtel n’avait pas réservé les chambres. On est passé à 2 doigts de devoir partager une chambre, mais finalement (malheureusement) Johanna a réussi à en avoir deux autres. Par contre ça a été le running gag du week-end : « t’imagines si on avait dû partager la chambre… ».
Et moi qui imaginait bien…trop bien même.
Le samedi soir j’ai dû me masturber tellement j’étais excité par le fait que Johanna soit si proche et si disponible.
Le dimanche est passé sans rien d’intéressant à ce niveau-là, puis on a repris la semaine de taf à l’usine où nous devions aller. Sur le vol de retour, j’étais à côté de Johanna, nous avons beaucoup parlé, surtout de sujets perso. J’ai appris comment elle avait rencontré son mec, plus jeune qu’elle d’une dizaine d’années. Elle m’a parlé de ses s. Ça nous a permis de mieux faire connaissance.
Quelques jours/semaines après, il y a eu un apéro organisé par notre entreprise en fin d’après-midi. Il y avait des bus pour ceux qui ne voulaient pas conduire, mais j’ai préféré y aller en voiture. Et Johanna aussi. Vers 21h30 on n’était plus qu’en petit comité, certains décident d’aller finir la soirée dans un autre lieu, d’autres de rentrer. Johanna voulait rentrer, mais elle ne se sentait pas de conduire à cause de l’alcool. Elle décide alors de rester dans sa voiture jusqu’à ce que ça aille mieux. Comme tout le monde partait je lui propose de rester avec elle lui tenir compagnie. On a bien parlé pendant une paire d’heures ; l’alcool aidant j’avais moins de scrupules à lorgnait outrageusement son décolleté. Elle n’a pas paru s’en offusquer. Les sujets étaient triviaux au départ, puis elle m’a demandé comment ça se passait avec « la petite minette que je draguais ». A ce moment-là il y avait une jolie blonde de 23/24 ans que je tentais d’approcher. J’en ai profité pour lui dire que ça avançait mais que je préférais les femmes plus âgées. Johanna a fait mine d’être surprise et m’a demandé plus d’infos, je lui ai donc raconté mon aventure avec une femme de 20 ans mon aînée, avec certains détails bien choisis comme nos jeux dans des lieux publics. La discussion l’intéressait, et elle m’a avoué à demi-mots aimer ce genre de jeux elle aussi.
Elle a fini par se décider à prendre le volant. Je lui ai dit que je la suivrai pour être sûr qu’elle rentrait bien.
Elle m’a remercié chaleureusement en me faisant la bise et en se collant un peu trop à moi pour que ça m’échappe. Sa poitrine s’est écrasée contre mon bras alors que ma main se posait sur sa hanche. J’étais à deux doigts de l’embrasser… mais ça ne s’est pas fait. Je l’ai donc suivie jusqu’à chez elle, en espérant qu’elle me propose un dernier verre une fois arrivés. Mais malheureusement rien. En même temps je ne sais pas si elle était seule ou pas.
Puis enfin, un fameux jour d’automne, les choses ont bien évolué. Nous avions un séminaire dans une ville proche. J’habite dans un village à 5min de celui où vit Johanna, et elle est sur ma route. Je lui propose donc de venir la chercher pour qu’on fasse la route ensemble, ce qu’elle accepte avec joie. On se donne rendez-vous à 7h30 chez elle. Mais je décide d’y aller avant, à 7h00 je sonne, et je joue l’excuse de « je pensais qu’on avait dit 7h00 ». Elle m’ouvre et manque de bol, elle est déjà habillée. Elle me propose de prendre un café vu l’avance qu’on a et alors qu’elle est en train de prendre le sien devant son PC la météo signale des orages pour l’après-midi.
- Quoi ? des orages ?! Je vais me changer, j’avais pas prévu ça…
En effet elle portait un simple petit haut et un pantacourt. Elle part dans sa chambre, et de là où je suis j’ai pleine vue sur son armoire. Elle ne ferme pas la porte, je pense que c’est un oubli, pas du tout intentionnel. Mais n’étant pas du matin, mon cerveau pas franchement réveillé à 100%, j’ai aucun remord à la regarder. Elle est de dos et enlève son haut. Elle porte un soutien-gorge blanc. Voyant ça, mon sexe frétille, et quand je la vois enlever le bas pour découvrir un tanga blanc aussi, j’ai carrément une érection. Elle ouvre son armoire, sort un jean qu’elle enfile rapidement, puis cherche un haut. Elle ne semble pas trouver quelque chose qui lui convient et se retourne. Face à moi, je vois alors que son soutien-gorge est super sexy : transparent, je devine qu’on voit ses tétons, mais suis trop loin pour les voir.
Elle lève les yeux vers moi, et lâche un « oops, désolée ». Elle finit par trouver son haut, un tshirt un peu plus épais que ce qu’elle portait avant, légèrement décolleté.
Elle revient alors vers moi et s’excuse du « spectacle ».
- J’aimerai bien voir de tels spectacles plus souvent, ai-je dit alors sans même réfléchir.
- Oh voyons, ta minette de 20 ans doit être bien plus agréable à regarder.
Et toujours sans réfléchir j’ai dit :
- Je sais pas, ce soutif a l’air de cacher quelque chose de vraiment agréable.
Il y a eu un blanc, moment où j’ai réalisé que je parlais de sa poitrine à ma chef… Je ne sais pas ce qu’il s’est passé dans sa tête mais sa réaction a été.
- Tu penses ? T’as pas pu bien voir de là-bas.
- Non en effet…
Elle s’est levée et est venue vers moi, quand elle a été à ma portée, j’ai glissé ma main sur sa hanche en dessous du tshirt. Elle ne m’a pas repoussé, j’ai alors soulevé son tshirt avec mes deux mains jusqu’à découvrir sa poitrine.

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